L’écrin et sa parure forment un réceptacle d’extériorité. Un agencement de matières tressées de vide et de lumière, générant ainsi de discrètes zones d’indiscernabilité : montrer / cacher, voiler / dévoiler, séduire / mettre à distance / absorber… En somme, c’est un œil, c’est un ventre. Antre altéré du monde extérieur, et capteur de l'image miroitante du spectateur. Dans un monde trouble, comment faire face à un catalyseur d’illusions ? Comment questionner « Le Réel et son double » ?
Installation de Ridha Dhib à La Galeru : Du 30 janvier au 18 mars 2017, visible 24h / 24 et 7j /7
La Galeru, vitrine municipale d'art contemporain, montre des projets artistiques qui questionnent ou provoquent le citoyen: interventions expérimentales, travail artistique, installations ou actions stimulantes pour la ville, ses habitants, pour l’art et la société.
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