Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog

  • L'écho disparaît

  • Le derviche tourneur

    Sur #CARNET @RHIZOME66 sont répertoriés, au fur et à mesure, les tweets de @rhizome66 émis depuis le Musée Guimet.

     


  • Psychotopologie

    eccéité,mahdia,land art

    « « Ici », dans « l’ailleurs » cybernétique nous avons fixé les dates de nos explorations : Les 11 12 et 13 Janvier 2012 nous avons arpenté l’espace du cimetière. Durant ces trois jours suspendus dans le temps nous sommes entrés en connexion avec ce monde si singulier ou les repères du temps, de l’espace, de la mort et de la vie sont abolis.
    Notre passage au dur a généré des expérimentations, des couleurs, des lignes, des reflets, des éléments, des temps, des plateaux, des intensités et des devenirs.


    Notre confrontation au cimetière a contribué à l’alimentation de sa cartographie . Vu de « haut » les cendres de nos essences sont désormais visibles, cet espace portera la trace de notre passage: nos ecceiétes. »

    Lire la suite

  • Cimetière marin de Mahdia : Eccéité(s)

    Depuis Google maps, semblable à un haut du ciel, les regards et les pensées de Ridha Dhib, Souad Mani et Sonia Makhlouf se sont croisés sur un point du globe, celui du cimetière marin de Mahdia.
    Ce monde des pierres, du silence, de l’entre vie et mort ne peut que saisir le créateur épidermiquement, viscéralement, non par l’esprit mais par le corps et la chair. Cet espace comme accroché au ciel,prêt à prendre le large, si solidement enraciné dans la terre incite le «navigateur» à en explorer sa morphologie spatiale et à saisir l’âme et la mémoire de ses vestiges et de ses tombes. 

     

     

    Performance de Ridha Dhib au Cimetière marin de Mahdia


    « Ici », dans « l’ailleurs » cybernétique nous avons fixé les dates de nos explorations : Les 11 12 et 13 Janvier 2012 nous avons arpenté l’espace du cimetière. Durant ces trois jours suspendus dans le temps nous sommes entrés en connexion avec ce monde si singulier ou les repères du temps, de l’espace, de la mort et de la vie sont abolis. 
    Notre passage au dur a généré des expérimentations, des couleurs, des lignes, des reflets, des éléments, des temps, des plateaux, des intensités et des devenirs. 
    Notre confrontation au cimetière a contribué à l’alimentation de sa cartographie . Vu de « haut » les cendres de nos essences sont désormais visibles, cet espace portera la trace de notre passage: nos ecceiétes.

    Sonia Makhlouf, Souad ManiRidha Dhib

     

  • Plaine éventée

    Plaine éventée, plaine grise et mouillée, plaine rectiligne... plaines de mon enfance protégée des moindres aspérités. La norme en étendard planté au beau milieu d'un vaste champ de betteraves sales à pleurer. La parole du père disant toujours « Surtout se redresser ! », tandis qu'elle de son côté...la suite sur Rhizomonde... Elisabeth Celle .

    DSCF1493.JPG

    Cristina Mateus Mendes par Ridha Dhib

      

     


  • Journal Japon

    Elaboré à quatre mains, celles de Ridha Dhib pour les lignes et d'Elisabeth Celle pour les mots, ce journal relate des instants japonais de l'été 2007.

    http://journal-japon.tumblr.com/post/24117600433
     
     
     
    La suite par ici
     
     
     
     
     
     
     
     
  • IMPRO 1 dans la Membrane



    Il s’agit d’une performance entre quatre danseurs, une musicienne et un plasticien autour d’une installation ; une trame de mediums actualisée par des lignes plastiques, gestuelles, corporelles, sonores et lumineuses. La projection vidéo, dont le contenu n’est plus de surface mais d’espace, irrigue la performance. 100 g de matière par mètre cube constitue un volume de jeux autour du plein et du vide dont la topographie est sans cesse reconfigurée par l’action des corps sur la matière-lumière.

    POUR EN SAVOIR PLUS : http://rhizomance.hautetfort.com

  • La ligne dit :

    medium_trou_pas_si_noir_que_8bd45.jpg

    Trou pas si noir que ça : vitesse Peinture : plus que un et moins que trois dimensions mars 2006 La ligne dit : "Je suis ce que j'enveloppe, je suis ce qu'il y a, plus mes vitesses, je suis mutante, polymorphe, je m'actualise dans le mouvement, je me réalise dans l'étendue, je suis matière gorgée de vide. Je fuis l'agrégat, le poids, la préciosité et le fétichisme de l'antériorité. Je négocie avec le vide qui est rempli de notre propre devenir. J'épouse la topographie de ce qui m'est donné, puis je raccorde les sommets, toujours de proche en proche. Je suis plus que un et moins que trois, jamais deux ! Je suis entre ciel et terre. " R.D.

  • A propos de La ligne se lève : « Sur le vide »

    elle_se_leve_de_nuit.3.jpg

    Elle se lève de nuit aussi...

    Lire la suite

  • L'art à l'état gazeux

    "On pourra regretter que le temps n'ait plus assez de forme, plus assez de style, plus assez de projet, plus assez de Gestalt, aurait dit Hegel, pour se saisir de manière solide et sculptée dans des œuvres d'art plus pérennes que l'airain. De quoi se plaindrait-on pourtant quand on voit que cette situation fluide et gazeuse est seulement la contrepartie du triomphe de l'esthétique ? De quoi pourrait-on se plaindre quand le monde est devenu tout entier si beau ? Il n'y a plus d'œuvres mais la beauté est illimitée et notre bonheur en elle s'illimite telle une fumée..."

     

    Yves Michaut, L'Art à l'état gazeux.