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Philosophie

  • Hor-I-zons

    Performance marchée du 2 mai au 13 août : 3400 km pour relier mon atelier parisien au Sahel tunisien. Étape N° 1 ☞

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  • Spirale parisienne...

    C’est une performance marchée au départ du parvis de Notre-Dame de Paris, point zéro pour l'établissement des kilométrages routiers en France. Elle a eu lieu le 15 octobre 2013, commencé à 13h22, et a durée 5 heures, 28 minutes et 18 secondes. La distance parcourue est de 29.68 km.

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  • Voile-vide

    L’écrin et sa parure forment un réceptacle d’extériorité. Un agencement de matières tressées de vide et de lumière, générant ainsi de discrètes zones d’indiscernabilité : montrer / cacher, voiler / dévoiler, séduire / mettre à distance / absorber… En somme, c’est un œil, c’est un ventre. Antre altéré du monde extérieur, et capteur de l'image miroitante du spectateur. Dans un monde trouble, comment faire face à un catalyseur d’illusions ? Comment questionner « Le Réel et son double » ?

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  • Devenir fleur

    Faire carte c'est aussi construire des « paysages GPS ». Le GPS trace le corps qui, à son tour, trace une ligne de fuite. La géolocalisation est un ajustement permanent entre la carte et le territoire, avec le corps comme intercesseur. C'est un devenir pinceau du corps, traçant et fuyant... 

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  • Ligne abstraite

    « On n'est plus qu'une ligne abstraite, comme une flèche qui traverse le vide. » Mille Plateaux, G. Deleuze - F. Guattari

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    Performance sur une grille d'aération avec Elisabeth Celle et Genevieve Cron, 1 Place Baudoyer 75004 Paris.

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  • Psychotopologie

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    « « Ici », dans « l’ailleurs » cybernétique nous avons fixé les dates de nos explorations : Les 11 12 et 13 Janvier 2012 nous avons arpenté l’espace du cimetière. Durant ces trois jours suspendus dans le temps nous sommes entrés en connexion avec ce monde si singulier ou les repères du temps, de l’espace, de la mort et de la vie sont abolis.
    Notre passage au dur a généré des expérimentations, des couleurs, des lignes, des reflets, des éléments, des temps, des plateaux, des intensités et des devenirs.


    Notre confrontation au cimetière a contribué à l’alimentation de sa cartographie . Vu de « haut » les cendres de nos essences sont désormais visibles, cet espace portera la trace de notre passage: nos ecceiétes. »

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  • Qu’est-ce que l’acte de création ?

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  • Les petites perceptions 2

    « Pour entendre ce bruit, comme l'on fait, il faut bien qu'on entende les parties qui composent ce tout, c'est-à-dire le bruit de chaque vague, quoique chacun de ces petits bruits ne se fasse connaître que dans l'assemblage confus de tous les autres ensemble, et qu'il ne se remarquerait pas si cette vague qui le fait était seule. Car il faut qu'on soit affecté un peu par le mouvement de cette vague et qu'on ait quelque perception de chacun de ces bruits, quelque petits qu'ils soient ; autrement on n'aurait pas celle de cent mille vagues, puisque cent mille riens ne sauraient faire quelque chose. 

    D'ailleurs on ne dort jamais si profondément qu'on n'ait quelque sentiment faible et confus ; et on ne serait jamais éveillé par le plus grand bruit du monde, si on n'avait quelque perception de son commencement, qui est petit ; comme on ne romprait jamais une corde par le plus grand effort du monde, si elle n'était pas tendue et allongée un peu par de moindres efforts, quoique cette petite extension qu'ils font ne paraisse jamais. Ces petites perceptions sont donc de plus grande efficacité qu'on ne pense. Ce sont elles qui forment ce je ne sais quoi, ces goûts, ces images des qualités des sens, claires dans l'assemblage, mais confuses dans les parties ; ces impressions que les corps qui nous environnent font sur nous et qui enveloppent l'infini ; cette liaison que chaque être a avec tout le reste de l'univers. On peut même dire qu'en conséquence de ces petites perceptions le présent est plein de l'avenir et chargé du passé. »

    Leibniz, Nouveaux Essais. Avant-propos (1704). 

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  • Le corps est le bougé de l'âme


    Jeux interactifs dans une membrane entre corps, souffle et lumière dans l'atelier de Ridha Dhib.

    « Corps indiciel : il y a là quelqu'un, il y a quelqu'un qui se cache, qui montre le bout de l'oreille, quelqu'un ou quelqu'une, quelque chose ou quelque signe, quelque cause ou quelque effet, il y là quelque manière de "là", de "là-bas", tout près, assez loin... Corps touché, touchant, fragile, vulnérable, toujours changeant, fuyant, insaisissable, évanescent sous la caresse ou sous le coup, corps sans écorce, pauvre peau tendue sur une caverne où flotte notre ombre... »

    Jean-Luc Nancy, extraits de Corpus Editions Métailié, Suites Sciences Humaines, 2006.

     

    Tramage : Ridha Dhib

    Mouvement : Elisabeth Celle

  • Sur la souveraineté de la ligne nomade

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