Performance marchée du 2 mai au 13 août : 3400 km pour relier mon atelier parisien au Sahel tunisien. Étape N° 1 ☞
land art
-
Hor-I-zons
-
Écrin de lignes
La croix de chemin est un marqueur territorial par excellence. Elle a tenu au cours des siècles une place historique et artistique très importante puisqu’elle a participé intimement au rythme de vie des communes et des individus. De plus, une croix encadrée d’arbres symétriques est un espace scénique et symbolique à forte potentialité. Un espace pouvant notamment accueillir une installation en résonance avec le territoire.
Pluie de lumière sur le calvaire de Jumel. Installation dans le cadre des journées européennes du patrimoine dans Le Val de Noye - 26 et 27 septembre 2015.
Il pleut lumière Jumel, aujourd'hui 18:39 #LandArt #Picardie
Posted by Ridha Dhib on dimanche 27 septembre 2015- Parer une croix de chemin d’une texture légère et transparente.
- Créer un réceptacle de lumière sous forme de champ de lignes.
- Habiter les arbres et habiller la croix.
- Souligner l’alliance du ciel et de la terre par un halo de matière transparente.
- Faire résonner des textures, des lieux et des mémoires.
- Se greffer temporairement et de façon pragmatique sur les matériaux disponibles.
Un lieu de mémoire, repaire pour les âmes et repère pour les hommes.
-
Réceptacle de lumière
Résidence de création dans le cadre du festival « L'Art est dans les Bois ». Du 15 au 19 juin, Pleslin Trigavou 22490, Côtes d'Armor.
-
Embrasement matinal
Le cœur demande une plume au laveur de carreaux rachitique #GénérateurdePhrases
La suite c'est par ici
-
Psychotopologie
« « Ici », dans « l’ailleurs » cybernétique nous avons fixé les dates de nos explorations : Les 11 12 et 13 Janvier 2012 nous avons arpenté l’espace du cimetière. Durant ces trois jours suspendus dans le temps nous sommes entrés en connexion avec ce monde si singulier ou les repères du temps, de l’espace, de la mort et de la vie sont abolis.
Notre passage au dur a généré des expérimentations, des couleurs, des lignes, des reflets, des éléments, des temps, des plateaux, des intensités et des devenirs.
Notre confrontation au cimetière a contribué à l’alimentation de sa cartographie . Vu de « haut » les cendres de nos essences sont désormais visibles, cet espace portera la trace de notre passage: nos ecceiétes. » -
Cimetière marin de Mahdia : Eccéité(s)
Depuis Google maps, semblable à un haut du ciel, les regards et les pensées de Ridha Dhib, Souad Mani et Sonia Makhlouf se sont croisés sur un point du globe, celui du cimetière marin de Mahdia.
Ce monde des pierres, du silence, de l’entre vie et mort ne peut que saisir le créateur épidermiquement, viscéralement, non par l’esprit mais par le corps et la chair. Cet espace comme accroché au ciel,prêt à prendre le large, si solidement enraciné dans la terre incite le «navigateur» à en explorer sa morphologie spatiale et à saisir l’âme et la mémoire de ses vestiges et de ses tombes.
« Ici », dans « l’ailleurs » cybernétique nous avons fixé les dates de nos explorations : Les 11 12 et 13 Janvier 2012 nous avons arpenté l’espace du cimetière. Durant ces trois jours suspendus dans le temps nous sommes entrés en connexion avec ce monde si singulier ou les repères du temps, de l’espace, de la mort et de la vie sont abolis.
Notre passage au dur a généré des expérimentations, des couleurs, des lignes, des reflets, des éléments, des temps, des plateaux, des intensités et des devenirs.
Notre confrontation au cimetière a contribué à l’alimentation de sa cartographie . Vu de « haut » les cendres de nos essences sont désormais visibles, cet espace portera la trace de notre passage: nos ecceiétes.Sonia Makhlouf, Souad Mani, Ridha Dhib
-
Sur le balcon de France
Peinture errante : flânerie picturale sur les côtes bretonnes (Presqu'île du Crozon). Tentative de contact et/ou dialogue de la peinture et des éléments. Questionner les lois de la nature sur l'hétérogène - nature et/ou culture ?