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philosophie

  • Derrida-Arabesques

    Performance artistique exceptionnelle et inédite de Ridha Dhib et Saâdia Souyah, accompagnés de Bruno La Brasca, réalisée en hommage aux trois textes de Derrida publiés en 1967 : De la grammatologie, L'écriture et la différence et La voix et le phénomène.  

    La performance a été suivie d'une discussion avec deux membres de l'atelier Derrida et de l'« association pour la déconstruction », Marta Hernandez Alonso et Gabriel Rezende, accompagné.e.s de leur invitée Marion Delage De Luget, Docteure en Philosophie de l'Art, commissaire et critique d'art indépendante. Projet initié par Isabelle Alfandary et Elise Lamy-Rested - Collège international de philosophie

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  • Qu’est-ce que l’acte de création ?

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  • PERFOZOME

     

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  • RITOURNELLE ODRADEK

    Musique : Sifir


    Voix : Sifir Mum and Victoria Carolan


    Video et Membrane : Ridha Dhib

    http;//www.myspace.com/sifiro

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  • Printemps de Novembre

     

    Tramage d'une Membrane dans le verger de Redith à Marcilly.

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    « Un territoire emprunte à tous les milieux, il mord sur eux, il les prend à bras le corps (bien qu'il reste fragile aux intrusions). Il est construit avec des aspects ou des portions de milieux. Il comporte en lui-même un milieu extérieur, un milieu intérieur, un intermédiaire, un annexé. Il a une zone intérieure de domicile ou d'abri, une zone extérieure de domaine, des limites ou membranes plus ou moins rétractiles, des zones intermédiaires ou même neutralisées, des réserves ou annexes énergétiques. Il est essentiellement marqué, par des "indices", et ces indices sont empruntés à des composantes de tous les milieux : des matériaux, des produits organiques, des états de membrane ou de peau, des sources d'énergie, des condensés de perception-action. Précisément, il y a territoire dès que des composantes de milieux cessent d'être directionnelles pour devenir dimensionnelles, quand elles cessent d'être fonctionnelles pour devenir expressives. Il y a territoire dès qu'il y a expressivité du rythme. »

    Mille Plateaux. Gilles Deleuze et Felix Guattari, p. 386-387.

     
     
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  • Les petites perceptions 2

    « Pour entendre ce bruit, comme l'on fait, il faut bien qu'on entende les parties qui composent ce tout, c'est-à-dire le bruit de chaque vague, quoique chacun de ces petits bruits ne se fasse connaître que dans l'assemblage confus de tous les autres ensemble, et qu'il ne se remarquerait pas si cette vague qui le fait était seule. Car il faut qu'on soit affecté un peu par le mouvement de cette vague et qu'on ait quelque perception de chacun de ces bruits, quelque petits qu'ils soient ; autrement on n'aurait pas celle de cent mille vagues, puisque cent mille riens ne sauraient faire quelque chose. 

    D'ailleurs on ne dort jamais si profondément qu'on n'ait quelque sentiment faible et confus ; et on ne serait jamais éveillé par le plus grand bruit du monde, si on n'avait quelque perception de son commencement, qui est petit ; comme on ne romprait jamais une corde par le plus grand effort du monde, si elle n'était pas tendue et allongée un peu par de moindres efforts, quoique cette petite extension qu'ils font ne paraisse jamais. Ces petites perceptions sont donc de plus grande efficacité qu'on ne pense. Ce sont elles qui forment ce je ne sais quoi, ces goûts, ces images des qualités des sens, claires dans l'assemblage, mais confuses dans les parties ; ces impressions que les corps qui nous environnent font sur nous et qui enveloppent l'infini ; cette liaison que chaque être a avec tout le reste de l'univers. On peut même dire qu'en conséquence de ces petites perceptions le présent est plein de l'avenir et chargé du passé. »

    Leibniz, Nouveaux Essais. Avant-propos (1704). 

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  • Danse avec SIFIR

    Performance de Sifir au Dogzstar d'Istanbul le 15 novembre 2007. Installation "membrane” : Ridha Dhib. Vidéos : Zaiat

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  • Rhizomance : Nuit blanche 2007

    Performance durant la Nuit blanche 2007 au square Villemin à Paris.
    Danse contemporaine : Cie Kivitasku
    Plasticien : Ridha Dhib
    Musiciens : Elmapi et Juan Rodrigo Garci

    Performance durant la Nuit blanche 2007 au square Villemin à Paris

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  • IMPRO 1 dans la Membrane



    Il s’agit d’une performance entre quatre danseurs, une musicienne et un plasticien autour d’une installation ; une trame de mediums actualisée par des lignes plastiques, gestuelles, corporelles, sonores et lumineuses. La projection vidéo, dont le contenu n’est plus de surface mais d’espace, irrigue la performance. 100 g de matière par mètre cube constitue un volume de jeux autour du plein et du vide dont la topographie est sans cesse reconfigurée par l’action des corps sur la matière-lumière.

    POUR EN SAVOIR PLUS : http://rhizomance.hautetfort.com

  • Majnoun*

    Performance corporelle et vocale projetée en direct sur la membrane picturale dans l'atelier de Ridha Dhib

    Improvisation Ridha Dhib

    *Majnoun signifie en arabe « possédé par les djins »