L’écrin et sa parure forment un réceptacle d’extériorité. Un agencement de matières tressées de vide et de lumière, générant ainsi de discrètes zones d’indiscernabilité : montrer / cacher, voiler / dévoiler, séduire / mettre à distance / absorber… En somme, c’est un œil, c’est un ventre. Antre altéré du monde extérieur, et capteur de l'image miroitante du spectateur. Dans un monde trouble, comment faire face à un catalyseur d’illusions ? Comment questionner « Le Réel et son double » ?