Performance durant la Nuit blanche 2007 au square Villemin à Paris.
Danse contemporaine : Cie Kivitasku
Plasticien : Ridha Dhib
Musiciens : Elmapi et Juan Rodrigo Garci
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Rhizomance : Nuit blanche 2007
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IMPRO 1 dans la Membrane
Il s’agit d’une performance entre quatre danseurs, une musicienne et un plasticien autour d’une installation ; une trame de mediums actualisée par des lignes plastiques, gestuelles, corporelles, sonores et lumineuses. La projection vidéo, dont le contenu n’est plus de surface mais d’espace, irrigue la performance. 100 g de matière par mètre cube constitue un volume de jeux autour du plein et du vide dont la topographie est sans cesse reconfigurée par l’action des corps sur la matière-lumière.
POUR EN SAVOIR PLUS : http://rhizomance.hautetfort.com -
Majnoun*
Performance corporelle et vocale projetée en direct sur la membrane picturale dans l'atelier de Ridha Dhib
Improvisation Ridha Dhib
*Majnoun signifie en arabe « possédé par les djins »
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Le corps est le bougé de l'âme
Jeux interactifs dans une membrane entre corps, souffle et lumière dans l'atelier de Ridha Dhib.« Corps indiciel : il y a là quelqu'un, il y a quelqu'un qui se cache, qui montre le bout de l'oreille, quelqu'un ou quelqu'une, quelque chose ou quelque signe, quelque cause ou quelque effet, il y là quelque manière de "là", de "là-bas", tout près, assez loin... Corps touché, touchant, fragile, vulnérable, toujours changeant, fuyant, insaisissable, évanescent sous la caresse ou sous le coup, corps sans écorce, pauvre peau tendue sur une caverne où flotte notre ombre... »
Jean-Luc Nancy, extraits de Corpus Editions Métailié, Suites Sciences Humaines, 2006.
Tramage : Ridha Dhib
Mouvement : Elisabeth Celle
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Membrane picturale mouvante
Voix : Gilles Deleuze sur les notions communes de Spinoza. -
Sur la souveraineté de la ligne nomade
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Topographie d'une peinture
"N'est-ce pas la définition du percept en personne : rendre sensibles les forces insensibles qui peuplent le monde, et qui nous affectent, nous font devenir ?" G. Deleuze et F. Guattari, Qu'est-ce que la philosohpie ?
Toujours chercher le centre de la terre pour mieux le fuir, ne pas le défier, mais jouer avec dans le mouvement, l'inclinaison et la vitesse.
Ligne de fuite pour relier les sommets, ligne nomade pour épouser la topographie et ligne baroque englobante.R.D.
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La ligne dit :
Trou pas si noir que ça : vitesse Peinture : plus que un et moins que trois dimensions mars 2006 La ligne dit : "Je suis ce que j'enveloppe, je suis ce qu'il y a, plus mes vitesses, je suis mutante, polymorphe, je m'actualise dans le mouvement, je me réalise dans l'étendue, je suis matière gorgée de vide. Je fuis l'agrégat, le poids, la préciosité et le fétichisme de l'antériorité. Je négocie avec le vide qui est rempli de notre propre devenir. J'épouse la topographie de ce qui m'est donné, puis je raccorde les sommets, toujours de proche en proche. Je suis plus que un et moins que trois, jamais deux ! Je suis entre ciel et terre. " R.D.
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Les « petites perceptions » : exemple du bruit de la mer
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Faire rhizome I