Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lignes

  • Écrin de lignes

    La croix de chemin est un marqueur territorial par excellence. Elle a tenu au cours des siècles une place historique et artistique très importante puisqu’elle a participé intimement au rythme de vie des communes et des individus. De plus, une croix encadrée d’arbres symétriques est un espace scénique et symbolique à forte potentialité. Un espace pouvant notamment accueillir une installation en résonance avec le territoire.

    Pluie de lumière sur le calvaire de Jumel. Installation dans le cadre des journées européennes du patrimoine dans Le Val de Noye - 26 et 27 septembre 2015

    Pluie de lumière sur le calvaire de Jumel. Installation dans le cadre des journées européennes du patrimoine dans Le Val de Noye - 26 et 27 septembre 2015.

     

    Il pleut lumière Jumel, aujourd'hui 18:39 #LandArt #Picardie

    Posted by Ridha Dhib on dimanche 27 septembre 2015

     

    • Parer une croix de chemin d’une texture légère et transparente.
    • Créer un réceptacle de lumière sous forme de champ de lignes.
    • Habiter les arbres et habiller la croix.
    • Souligner l’alliance du ciel et de la terre par un halo de matière transparente.
    • Faire résonner des textures, des lieux et des mémoires.
    • Se greffer temporairement et de façon pragmatique sur les matériaux disponibles.

     

     

    Un lieu de mémoire, repaire pour les âmes et repère pour les hommes.

     

  • Portraits : lieux de liens

    Performance (2009 - 2012) consistant a « portraitiser » systématiquement mes amis  de Facebook à partir de leur photo de profil (ceux qui le désirent évidemment) et cela par un triple mouvement : prélèvement, projection, restitution. 

    Portraits d’amis réalisés par Ridha Dhib dans le cadre d’une performance sur Facebook, entre 2009 et 2012.

    Lire la suite

  • Cimetière marin de Mahdia : Eccéité(s)

    Depuis Google maps, semblable à un haut du ciel, les regards et les pensées de Ridha Dhib, Souad Mani et Sonia Makhlouf se sont croisés sur un point du globe, celui du cimetière marin de Mahdia.
    Ce monde des pierres, du silence, de l’entre vie et mort ne peut que saisir le créateur épidermiquement, viscéralement, non par l’esprit mais par le corps et la chair. Cet espace comme accroché au ciel,prêt à prendre le large, si solidement enraciné dans la terre incite le «navigateur» à en explorer sa morphologie spatiale et à saisir l’âme et la mémoire de ses vestiges et de ses tombes. 

     

     

    Performance de Ridha Dhib au Cimetière marin de Mahdia


    « Ici », dans « l’ailleurs » cybernétique nous avons fixé les dates de nos explorations : Les 11 12 et 13 Janvier 2012 nous avons arpenté l’espace du cimetière. Durant ces trois jours suspendus dans le temps nous sommes entrés en connexion avec ce monde si singulier ou les repères du temps, de l’espace, de la mort et de la vie sont abolis. 
    Notre passage au dur a généré des expérimentations, des couleurs, des lignes, des reflets, des éléments, des temps, des plateaux, des intensités et des devenirs. 
    Notre confrontation au cimetière a contribué à l’alimentation de sa cartographie . Vu de « haut » les cendres de nos essences sont désormais visibles, cet espace portera la trace de notre passage: nos ecceiétes.

    Sonia Makhlouf, Souad ManiRidha Dhib

     

  • TAZ(s) en Nuit Blanche

     

    En contrepoint de la Nuit Blanche officielle, le collectif FaireRhizome investit pour quelques heures un territoire urbain et y déploie sur un des nombreux poumons de la ville ses lignes sauvages et ses corps.

    Performance de Ridha Dhib sur une grille d’aération, Nuit blanche 2011, Châtelet, Paris

    Air'TAZ(s) 4

    Lire la suite

  • Tramage

    Tout d'abord, repérer les grilles d'aération.
    Puis répertorier et cartographier les grilles qui ont du souffle.
    En choisir une et organiser une action en deux temps :
    Phase A : tramer une membrane sur cette grille en s'appuyant sur son souffle.


    Obtenir un volume gonflé d'air d'une densité de 10g/m3 environ.
    Phase B : improviser en mouvement dans le volume ainsi créé, explorer et défaire la membrane, puis disparaître.


    Cette TAZ – Zone Autonome Temporaire – se limite dans l'espace à la grille, et dans le temps, à l'action nécessaire pour faire et défaire la membrane. En revanche, les traces de cette intervention se perpétueront sur la carte TAZ(s) qui devient ainsi un nouveau territoire autonome.

    Lire la suite