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trace

  • Hor-I-zons

    Performance marchée du 2 mai au 13 août : 3400 km pour relier mon atelier parisien au Sahel tunisien. Étape N° 1 ☞

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  • Dérive circulaire N° 1 : couronne ou corridor ?

    Mesurer l'écart entre le tracé et le marché, le lisible et le visible.

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  • Derrida-Arabesques

    Performance artistique exceptionnelle et inédite de Ridha Dhib et Saâdia Souyah, accompagnés de Bruno La Brasca, réalisée en hommage aux trois textes de Derrida publiés en 1967 : De la grammatologie, L'écriture et la différence et La voix et le phénomène.  

    La performance a été suivie d'une discussion avec deux membres de l'atelier Derrida et de l'« association pour la déconstruction », Marta Hernandez Alonso et Gabriel Rezende, accompagné.e.s de leur invitée Marion Delage De Luget, Docteure en Philosophie de l'Art, commissaire et critique d'art indépendante. Projet initié par Isabelle Alfandary et Elise Lamy-Rested - Collège international de philosophie

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  • De l'écriture au fil...

    « Quand je dessine à main levée, j’emmène ma ligne en promenade. »

    Tim Ingold « Une brève histoire de lignes »

     

    « Comment une ligne pour un artiste est toujours une question de durée plutôt que de trajectoire ? Pour un artiste, un géographe, un scribe, la ligne est une durée, la vraie question est comment la faire, sa destination importe peu. Finalement pour un artiste le travail est rarement dans l’œuvre qui sera exposée mais plutôt dans la fabrication qu’elle nécessite. » Alain BUBLEX

     

     

     

    Aaaaa…bstrait. Du dire au faire #distance

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    Le mouvement e(s)t sa trace : de l'écriture au fil #line #hand

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  • Psychotopologie

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    « « Ici », dans « l’ailleurs » cybernétique nous avons fixé les dates de nos explorations : Les 11 12 et 13 Janvier 2012 nous avons arpenté l’espace du cimetière. Durant ces trois jours suspendus dans le temps nous sommes entrés en connexion avec ce monde si singulier ou les repères du temps, de l’espace, de la mort et de la vie sont abolis.
    Notre passage au dur a généré des expérimentations, des couleurs, des lignes, des reflets, des éléments, des temps, des plateaux, des intensités et des devenirs.


    Notre confrontation au cimetière a contribué à l’alimentation de sa cartographie . Vu de « haut » les cendres de nos essences sont désormais visibles, cet espace portera la trace de notre passage: nos ecceiétes. »

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  • Tramage

    Tout d'abord, repérer les grilles d'aération.
    Puis répertorier et cartographier les grilles qui ont du souffle.
    En choisir une et organiser une action en deux temps :
    Phase A : tramer une membrane sur cette grille en s'appuyant sur son souffle.


    Obtenir un volume gonflé d'air d'une densité de 10g/m3 environ.
    Phase B : improviser en mouvement dans le volume ainsi créé, explorer et défaire la membrane, puis disparaître.


    Cette TAZ – Zone Autonome Temporaire – se limite dans l'espace à la grille, et dans le temps, à l'action nécessaire pour faire et défaire la membrane. En revanche, les traces de cette intervention se perpétueront sur la carte TAZ(s) qui devient ainsi un nouveau territoire autonome.

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  • Tapis Levant

    Installation dans le cadre du Huitième Printemps des Arts Plastiques de la Marsa


    Un tramage de lignes sauvages entre glycine et araignée
    Une disponibilité pragmatique qui fait rhizome avec et dans les lieux
    Une surface dépliée pour un volume déployé
    Une inclusion de mouvements soufflée d'air et irriguée de lumière
    Un territoire ouvert, poreux et précaire
    Une alliance de plein et de vide qui fait bloc : 100 g de matière par mètre cube
    Un tapis nomade en dialogue...
     
     

    R.D.
     

    Mai 2010
     Palais Abdellia, La Marsa 2010, Tunisie.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

     
     

  • Sur la souveraineté de la ligne nomade

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  • Topographie d'une peinture

    medium_topographie_d_une_peinture.jpg



    "N'est-ce pas la définition du percept en personne : rendre sensibles les forces insensibles qui peuplent le monde, et qui nous affectent, nous font devenir ?" G. Deleuze et F. Guattari, Qu'est-ce que la philosohpie ?
    Toujours chercher le centre de la terre pour mieux le fuir, ne pas le défier, mais jouer avec dans le mouvement, l'inclinaison et la vitesse.
    Ligne de fuite pour relier les sommets, ligne nomade pour épouser la topographie et ligne baroque englobante.

    R.D.

  • La ligne dit :

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    Trou pas si noir que ça : vitesse Peinture : plus que un et moins que trois dimensions mars 2006 La ligne dit : "Je suis ce que j'enveloppe, je suis ce qu'il y a, plus mes vitesses, je suis mutante, polymorphe, je m'actualise dans le mouvement, je me réalise dans l'étendue, je suis matière gorgée de vide. Je fuis l'agrégat, le poids, la préciosité et le fétichisme de l'antériorité. Je négocie avec le vide qui est rempli de notre propre devenir. J'épouse la topographie de ce qui m'est donné, puis je raccorde les sommets, toujours de proche en proche. Je suis plus que un et moins que trois, jamais deux ! Je suis entre ciel et terre. " R.D.