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art - Page 6

  • Sur le balcon de France

    Peinture errante : flânerie picturale sur les côtes bretonnes (Presqu'île du Crozon). Tentative de contact et/ou dialogue de la peinture et des éléments. Questionner les lois de la nature sur l'hétérogène - nature et/ou culture ? 

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  • Sur la souveraineté de la ligne nomade

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  • Topographie d'une peinture

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    "N'est-ce pas la définition du percept en personne : rendre sensibles les forces insensibles qui peuplent le monde, et qui nous affectent, nous font devenir ?" G. Deleuze et F. Guattari, Qu'est-ce que la philosohpie ?
    Toujours chercher le centre de la terre pour mieux le fuir, ne pas le défier, mais jouer avec dans le mouvement, l'inclinaison et la vitesse.
    Ligne de fuite pour relier les sommets, ligne nomade pour épouser la topographie et ligne baroque englobante.

    R.D.

  • La ligne dit :

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    Trou pas si noir que ça : vitesse Peinture : plus que un et moins que trois dimensions mars 2006 La ligne dit : "Je suis ce que j'enveloppe, je suis ce qu'il y a, plus mes vitesses, je suis mutante, polymorphe, je m'actualise dans le mouvement, je me réalise dans l'étendue, je suis matière gorgée de vide. Je fuis l'agrégat, le poids, la préciosité et le fétichisme de l'antériorité. Je négocie avec le vide qui est rempli de notre propre devenir. J'épouse la topographie de ce qui m'est donné, puis je raccorde les sommets, toujours de proche en proche. Je suis plus que un et moins que trois, jamais deux ! Je suis entre ciel et terre. " R.D.

  • A propos de La ligne se lève : « Sur le vide »

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    Elle se lève de nuit aussi...

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  • Faire rhizome I

    rhizome, ridha dhib, lignes, peinture, pieds,

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  • Ligne tressée sur elle-même

    A travers son empreinte, la ligne inscrit le temps sur le plan et reçoit l'espace en retour. Elle englobe, enroule, spirale, tourne, vrille, croise, glisse et trace la profondeur du volume sur elle-même.
    La ligne-matière appuie sa trajectoire sur le plan mouvant, support éphémère, qui disparaîtra pour la laisser dialoguer avec le vide. C'est la trajectoire de la ligne nomade selon ses vitesses propres qui motive les ruptures, les arrêts, les accidents en temps réel. Son chemin infini et non déterminé parcourt l'espace multidimensionnel.
    Le plan imprime sa topographie à la ligne : relief, configuration, nivellement... Il porte et se dérobe.


    Portée, supportée, déportée, sous l'emprise de la gravité, la ligne accède à l'autonomie, devient son propre support et crée un espace intensif, haptique, ouvert, hétérogène et imprévisible.


    Sable mouvant, tassé, absorbant, adhérent et non adhérent, glissant, granuleux, lisse, strié, le plan s'offre en variétés de textures et de relief au mouvement pur de la ligne matière. Il se laisse pénétrer, transformer et contaminer. Dimensionnel, il existe avant tout et il "est agit". Il répond à la ligne par sa topographie et elle lui imprime par son corps-matière un devenir. Succession de déformations, distorsions continues, contiguës et mutuelles entre ligne et plan qui s'interpénètrent, se nourrissent, se contaminent. Rencontres, mutation, synergie. Interaction.
    Puis le plan matrice disparaît : la topographie de l'espace devient exclusivement et uniquement picturale.

    Zaïat