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Faire Rhizome - Page 3

  • Qu'est-ce et qui se trame ?

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  • Qu'est-ce et qui se trame ?

    Performance :  Ridha Dhib et Elisabeth Celle pour l'ouverture de la Mostra “Profile”. Espace d'art contemporain En Plein Air, Pinerolo, Italie. 1er septembre 2012.

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  • Instants Flux

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  • Ligne abstraite

    « On n'est plus qu'une ligne abstraite, comme une flèche qui traverse le vide. » Mille Plateaux, G. Deleuze - F. Guattari

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    Performance sur une grille d'aération avec Elisabeth Celle et Genevieve Cron, 1 Place Baudoyer 75004 Paris.

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  • L'écho disparaît

  • Le derviche tourneur

    Sur #CARNET @RHIZOME66 sont répertoriés, au fur et à mesure, les tweets de @rhizome66 émis depuis le Musée Guimet.

     


  • Psychotopologie

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    « « Ici », dans « l’ailleurs » cybernétique nous avons fixé les dates de nos explorations : Les 11 12 et 13 Janvier 2012 nous avons arpenté l’espace du cimetière. Durant ces trois jours suspendus dans le temps nous sommes entrés en connexion avec ce monde si singulier ou les repères du temps, de l’espace, de la mort et de la vie sont abolis.
    Notre passage au dur a généré des expérimentations, des couleurs, des lignes, des reflets, des éléments, des temps, des plateaux, des intensités et des devenirs.


    Notre confrontation au cimetière a contribué à l’alimentation de sa cartographie . Vu de « haut » les cendres de nos essences sont désormais visibles, cet espace portera la trace de notre passage: nos ecceiétes. »

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  • Cimetière marin de Mahdia : Eccéité(s)

    Depuis Google maps, semblable à un haut du ciel, les regards et les pensées de Ridha Dhib, Souad Mani et Sonia Makhlouf se sont croisés sur un point du globe, celui du cimetière marin de Mahdia.
    Ce monde des pierres, du silence, de l’entre vie et mort ne peut que saisir le créateur épidermiquement, viscéralement, non par l’esprit mais par le corps et la chair. Cet espace comme accroché au ciel,prêt à prendre le large, si solidement enraciné dans la terre incite le «navigateur» à en explorer sa morphologie spatiale et à saisir l’âme et la mémoire de ses vestiges et de ses tombes. 

     

     

    Performance de Ridha Dhib au Cimetière marin de Mahdia


    « Ici », dans « l’ailleurs » cybernétique nous avons fixé les dates de nos explorations : Les 11 12 et 13 Janvier 2012 nous avons arpenté l’espace du cimetière. Durant ces trois jours suspendus dans le temps nous sommes entrés en connexion avec ce monde si singulier ou les repères du temps, de l’espace, de la mort et de la vie sont abolis. 
    Notre passage au dur a généré des expérimentations, des couleurs, des lignes, des reflets, des éléments, des temps, des plateaux, des intensités et des devenirs. 
    Notre confrontation au cimetière a contribué à l’alimentation de sa cartographie . Vu de « haut » les cendres de nos essences sont désormais visibles, cet espace portera la trace de notre passage: nos ecceiétes.

    Sonia Makhlouf, Souad ManiRidha Dhib

     

  • Etre à l'heure du monde

    Google Deleuze Monde Facebook, heure,Devenir tout le monde, c'est faire monde, faire un monde. A force d'éliminer,on n'est plus qu'une ligne abstraite, ou bien une pièce de puzzle en elle-même abstraite. Et c'est en conjugant, en continuant avec d'autres lignes, d'autres pièces qu'on fait un monde, qui pourrait recouvrir le premier, comme en transparence. L'élégance animale, le poisson-camoufleur, le clandestin : il est parcouru de lignes abstraites qui ne ressemblent à rien, et qui ne suivent même pas ses divisions organiques ; mais ainsi désorganisé, désarticulé, il fait monde avec les lignes d'un rocher, du sable et des plantes, pour devenir imperceptible. Le poisson est comme le peintre poète chinois : ni imitatif ni structural, mais cosmique. François Cheng montre que le poète ne poursuit pas la ressemblance, pas plus qu'il ne calcule des «proportions géométriques». Il retient, il extrait seulement les lignes et les mouvements essentiels de la nature, il ne procède qu'avec des «traits» continués ou surimposés. C'est en ce sens que devenir le monde, faire du monde un devenir, c'est faire monde, c'est faire un monde, des mondes, c'est-à-dire trouver ses voisinages et ses zones d'indiscernabilité. Le Cosmos comme machine abstraite, et chaque monde comme agencement concret qui l'effectue. Se réduire à une ou plusieurs lignes abstraites qui vont se continuer et se conjuguer avec d'autres, pour produire immédiatement, directement, un monde, dans lequel c'est le monde qui devient, on devient tout le monde. Que l'écriture soit comme la ligne du dessin-poème chinois, c'était le rêve de Kérouac, ou déjà celui de Virginia Woolf. Elle dit qu'il faut « saturer chaque atome », et pour cela éliminer, éliminer tout ce qui est ressemblance et analogie, mais aussi « tout mettre » : éliminer tout ce qui excède le moment mais mettre tout ce qu'il inclut - et le moment n'est pas l'instantané, c'est l'heccéité, dans laquelle on se glisse, et qui se glisse dans d'autres heccéités par transparence. 

    Etre à l'heure du monde.

    MILLE PLATEAUX, GILLES DELEUZE et FÉLIX GUATTARI 

  • TAZ(s) en Nuit Blanche

     

    En contrepoint de la Nuit Blanche officielle, le collectif FaireRhizome investit pour quelques heures un territoire urbain et y déploie sur un des nombreux poumons de la ville ses lignes sauvages et ses corps.

    Performance de Ridha Dhib sur une grille d’aération, Nuit blanche 2011, Châtelet, Paris

    Air'TAZ(s) 4

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